Pour avertir, toute le gente cycliste de la gtmc, que le film est terminé et qu'une projection spéciale est prévue en octobre le week du 10, surement le vendredi soir.
Deux problèmes se posent:
_ est-ce qu'un maximum de monde est disponible ce jour là?
_et 2ème problème le film est un DVD et nous n'avons pas de lecteur DVD à Grenoble! Donc nous sommes à la recherche d'un lecteur...
Veuillez répondre sur votre disponibilité!
A bientot Audrey et Rom
Ps: Med réfléchis avant de dire oui!
vendredi 5 septembre 2008
samedi 2 août 2008
La "trace" des etapes.....
Fig 1: bra droite
souvenirs.......souvenirs.......souvenirs (mdr)
et encore......mais ici on vois (Fig 2) bien le depart a volic.......profil assez descendant...jusqu'a saint sauveur.
Mais mes amis,ne vous inquietez pas......ces images date d'il y a 5 jours....aujourd'hui (depuis hier en faite) plus de pansements - et un petit tour de velo est programme pour ce soir!!!! (faudra attendre un peu avant de tenter un petit pain dans la piscine municipale.....)
lundi 28 juillet 2008
mardi 8 juillet 2008
Presque au top .... !
Samedi 5 juillet 2008. J-14 de la GTMC !
Le temps de réaliser que l'événement est proche, très proche et que mes quelques randonnées touristiques locales ne suffieront certainement pas à être prêt pour affronter le massif central je me décide à réagir !
Dimanche 6 juillet 2008 :
Faute de VTTiste gtmtiste partant, je prévois une sortie Vélo de route avec une voisine triathlète expérimentée (mariée je précise !). Après une courte nuit plutôt arrosée (je parle de la pluie bien sûr!), j'ouvre les yeux, chausse les pédales automatiques (j'en ai sur ce vélo contrairement à son frère du Jura), et pars à jeun en me disant que je forcerai plus et que je rattrapperai le temps perdu.
Oui mais voilà, avec une nana qui roule à 35 km/h sur le plat et à 18 km/h dans la côte de Venon-St Nizier d'Uriage, il y a de quoi perdre les pédales : mes jambes s'alourdissent, mon coeur s'emballe, ma motivation chute, mon moral n'y est plus...
Mais je m'accroche, je souffre, je puise dans mes réserves, je me parle et je pense à des mecs comme Yannopoulos, Romain et autre gaillard du Jura qu'il faudra bien affronter tôt ou tard...
Et puis il y a de nouveaux talents cette année, françois et gros marco ! 2 vieux de la vieille ! Et une certaine Aurélia qui sous ses airs de rien sera bien présente dans l'équipe féminine !
Alors si je ne veux pas traîner trop souvent derrière les gonzesses (bien que la place soit parfois confortable !) je me dois de tout donner !
Je termine comme je peux l'ascension de cette bosse interminable avant de basculer sur les balcons de belledonne en direction de Revel, pour un retour avant l'orage sur Montbonnot.
Un petit 40 km qui me fait bien mal et qui me montre toutes les lacunes qu'il faut encore combler avant Volvic. Merci Carine, ma voisine, même si à un moment donné j'ai bien failli arrêter le vélo et rendre mon tablier de la GTMC !
lundi 7 juillet :
le plus intéressant reste à venir ! après une journée de travail quelque peu errintante, je rejoins un groupe de cyclistes répondants aux noms de Marc, Marc (non je ne me répète pas !) Louloute et Alice. Direction le col de porte ! Enfin dans l'absolu car je ne leur dirai pas que je m'arrête au Sappey pour une visite de courtoisie...
Après un court échauffement sur les routes bonnimontaines et meylanaises, nous débutons l'ascencion du Col de Vence par la montée de Rochasson et la traversée de Corenc Village.
Et voilà que dès le premier lacet, un homme attaque, robuste mais élancé, posé bien droit sur sa machine, tel un cavalier sur sa monture, passant à côté de moi à fière allure, sans même un regard de pitié ou de compassion... Marc P avait tout simplement décider d'imposer un train soutenu jusqu'à Corenc.
Je laisse filer la bête devant moi mais contôle l'écart qui nous sépare afin de doser mon effort, calquer ma course sur mon rival direct du jour et afficher mon bon état de forme aux autres concurrents. Hélas malgré un petit coup de rein dans les derniers hectomètres, je devais m'inclinais devant Marc à Corenc...
Et comme un Marc peut en cacher un autre, il fallait se méfier du deuxième qui allait très vite se montrer dangereux avant col de Vence. A bon entendeur ... !
Alors que je profite en queue de peloton de la beauté du paysage et surveille qu'Alice arrête de faire le moulin à café, Marc P est déjà reparti ! A son homologue de l'imiter très rapidement... Je me retrouve alors bloqué à l'arrière, incapable de démarrer !
Je ne m'affole pas, poursuis mon effort puis accélère, en chasse-patate derrière les Marc's.
Et après maintes rapprochements, voire même après avoir tutoyer les boyaux de l'un d'entre eux, tous mes efforts s'anéantissent et je me vois contraint à me contenter de la troisième place... Nos deux perles de chartreuse terminant d'ailleurs juste derrière moi ! Chapeau les filles !
Je laisse enfin l'orgueil de mes camarades s'exprimer à son tour ! Tandis qu'ils décident d'escalader le fameux col de porte, je reste au Sappey le temps de déguster un repas indien chez des amis locaux. A leur retour, j'étais de nouveau en forme pour les attendre et partager une descente bien sympathique sur Meylan les bains !
A J-12 maintenant, les organismes sont en route, les esprits s'échauffent et la tension monte. Combien et comment serons-nous au départ et surtout à l'arrivée de cette GTMC ?
Médéric JAMBON, France Bleu GTMC pour France Info.
Le temps de réaliser que l'événement est proche, très proche et que mes quelques randonnées touristiques locales ne suffieront certainement pas à être prêt pour affronter le massif central je me décide à réagir !
Dimanche 6 juillet 2008 :
Faute de VTTiste gtmtiste partant, je prévois une sortie Vélo de route avec une voisine triathlète expérimentée (mariée je précise !). Après une courte nuit plutôt arrosée (je parle de la pluie bien sûr!), j'ouvre les yeux, chausse les pédales automatiques (j'en ai sur ce vélo contrairement à son frère du Jura), et pars à jeun en me disant que je forcerai plus et que je rattrapperai le temps perdu.
Oui mais voilà, avec une nana qui roule à 35 km/h sur le plat et à 18 km/h dans la côte de Venon-St Nizier d'Uriage, il y a de quoi perdre les pédales : mes jambes s'alourdissent, mon coeur s'emballe, ma motivation chute, mon moral n'y est plus...
Mais je m'accroche, je souffre, je puise dans mes réserves, je me parle et je pense à des mecs comme Yannopoulos, Romain et autre gaillard du Jura qu'il faudra bien affronter tôt ou tard...
Et puis il y a de nouveaux talents cette année, françois et gros marco ! 2 vieux de la vieille ! Et une certaine Aurélia qui sous ses airs de rien sera bien présente dans l'équipe féminine !
Alors si je ne veux pas traîner trop souvent derrière les gonzesses (bien que la place soit parfois confortable !) je me dois de tout donner !
Je termine comme je peux l'ascension de cette bosse interminable avant de basculer sur les balcons de belledonne en direction de Revel, pour un retour avant l'orage sur Montbonnot.
Un petit 40 km qui me fait bien mal et qui me montre toutes les lacunes qu'il faut encore combler avant Volvic. Merci Carine, ma voisine, même si à un moment donné j'ai bien failli arrêter le vélo et rendre mon tablier de la GTMC !
lundi 7 juillet :
le plus intéressant reste à venir ! après une journée de travail quelque peu errintante, je rejoins un groupe de cyclistes répondants aux noms de Marc, Marc (non je ne me répète pas !) Louloute et Alice. Direction le col de porte ! Enfin dans l'absolu car je ne leur dirai pas que je m'arrête au Sappey pour une visite de courtoisie...
Après un court échauffement sur les routes bonnimontaines et meylanaises, nous débutons l'ascencion du Col de Vence par la montée de Rochasson et la traversée de Corenc Village.
Et voilà que dès le premier lacet, un homme attaque, robuste mais élancé, posé bien droit sur sa machine, tel un cavalier sur sa monture, passant à côté de moi à fière allure, sans même un regard de pitié ou de compassion... Marc P avait tout simplement décider d'imposer un train soutenu jusqu'à Corenc.
Je laisse filer la bête devant moi mais contôle l'écart qui nous sépare afin de doser mon effort, calquer ma course sur mon rival direct du jour et afficher mon bon état de forme aux autres concurrents. Hélas malgré un petit coup de rein dans les derniers hectomètres, je devais m'inclinais devant Marc à Corenc...
Et comme un Marc peut en cacher un autre, il fallait se méfier du deuxième qui allait très vite se montrer dangereux avant col de Vence. A bon entendeur ... !
Alors que je profite en queue de peloton de la beauté du paysage et surveille qu'Alice arrête de faire le moulin à café, Marc P est déjà reparti ! A son homologue de l'imiter très rapidement... Je me retrouve alors bloqué à l'arrière, incapable de démarrer !
Je ne m'affole pas, poursuis mon effort puis accélère, en chasse-patate derrière les Marc's.
Et après maintes rapprochements, voire même après avoir tutoyer les boyaux de l'un d'entre eux, tous mes efforts s'anéantissent et je me vois contraint à me contenter de la troisième place... Nos deux perles de chartreuse terminant d'ailleurs juste derrière moi ! Chapeau les filles !
Je laisse enfin l'orgueil de mes camarades s'exprimer à son tour ! Tandis qu'ils décident d'escalader le fameux col de porte, je reste au Sappey le temps de déguster un repas indien chez des amis locaux. A leur retour, j'étais de nouveau en forme pour les attendre et partager une descente bien sympathique sur Meylan les bains !
A J-12 maintenant, les organismes sont en route, les esprits s'échauffent et la tension monte. Combien et comment serons-nous au départ et surtout à l'arrivée de cette GTMC ?
Médéric JAMBON, France Bleu GTMC pour France Info.
samedi 21 juin 2008
Mon pélerinage annuel
Comme le veut la tradition, vieille d'un an :-), c'est le jour de la grande procession qui mène le pèlerin et son fidèle compagnon (bientôt 15 ans de communion) de Chabeuil à Meylan. Cette année je choisis un itinéraire bien plus cool, le départ est matinal histoire d'éviter (enfin!!!) les grosses chaleurs : 5h45.
La première heure s'effectue sur un parcours vallonné par barbières, hostum où les premiers rayons du soleil viennent me caresser la peau (à défaut de Marika). Puis c'est Pont en Royans et le début de la remontée des Gorges de la Bourne. Je peux profiter pleinement du paysage car il n'y a pas encore trop de voitures à cette heure.
Je me permets même un petit crochet par Méaudre et le col de la Croix Perrin. Entre Lans et St Nizier je me remémore l'état de déconfiture dans lequel j'étais ici même l'an dernier et je me félicite d'avoir choisi cette version "light".
Dans la descente vers Grenoble, je guette Jérome et son compère Franck (qui doivent être dans les parages) parmi les nombreux cyclistes en train de faire l'ascension, j'apprends un peu plus tard qu'ils sont en fait sur de sentiers bien plus escarpés.
10h15 : arrivée à l'entrée de Gre, 1/2heure pour traverser la ville et boucler ces 110km avec ces paysages et ces ambiances du Vercors au petit matin toujours aussi sympas.
La première heure s'effectue sur un parcours vallonné par barbières, hostum où les premiers rayons du soleil viennent me caresser la peau (à défaut de Marika). Puis c'est Pont en Royans et le début de la remontée des Gorges de la Bourne. Je peux profiter pleinement du paysage car il n'y a pas encore trop de voitures à cette heure.
Je me permets même un petit crochet par Méaudre et le col de la Croix Perrin. Entre Lans et St Nizier je me remémore l'état de déconfiture dans lequel j'étais ici même l'an dernier et je me félicite d'avoir choisi cette version "light".
Dans la descente vers Grenoble, je guette Jérome et son compère Franck (qui doivent être dans les parages) parmi les nombreux cyclistes en train de faire l'ascension, j'apprends un peu plus tard qu'ils sont en fait sur de sentiers bien plus escarpés.
10h15 : arrivée à l'entrée de Gre, 1/2heure pour traverser la ville et boucler ces 110km avec ces paysages et ces ambiances du Vercors au petit matin toujours aussi sympas.
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